Depuis le 14 juin de l’année passée, 22 femmes au moins ont été tuées par leur compagnon, leur ex, leur frère, leur fils, ou parfois un inconnu.
22 féminicides recensés sans parler de toutexs celles qui ont survécu à cette violence patriarcale. Le Pavillon de Bienne en est violet de rage. Il faut que cette violence cesse et que justice soit rendue aux victimes et leur entourage.
Autorités législatives, policières, judiciaire, services sociaux : protégez enfin sérieusement nos sœurs ! Les médias doivent également mentionner la violence structurelle plutôt que de banaliser les féminicides en les déguisant en drames conjugaux. Ne détournons plus jamais les yeux et agissons !
La veille de la grève féministe, le Pavillon de Bienne a été repeint en violet et les dates des féminicides commis depuis un an ont étés inscrits dans la pierre afin d’honorer la mémoire des victimes.
Face aux féminicides nous ne nous tairons jamais. Si vous prenez l’une d’entre nous, nous riposterons toutes !
NI UNA MENOS !